A peine arrivé, déjà du boulot ! [Pv]

Franken Stein, diplômé des plus grandes universités humaine, savant de génie, psychopathe de renommé, se tenait devant le célèbre lycée Yokai. Il venait d’être recruté comme infirmier, travaille plutôt dégradant pour quelqu’un comme lui mais … Il n’aurait pas accepté si il n’y avait pas de quelconque bénéfice. En effet, étudier des monstres sur leur lieu d’apprentissage, se n’était pas vraiment donné. Cigarette à la bouche, mallette à la main, il finit par entré dans les murs de se grand bâtiment. Les couloirs étaient vides, les cours n’étaient pas encore finit, ça lui donnait le temps d’une rapide reconnaissance des lieux. Au bout de quelques couloirs, il finit par tomber sur l’infirmerie, en ouvrant la porte, il n’arrivait pas à croire que ses lieu allait être son nouveau lieu de travail … Quelque brancard miteux, un plan de travail des plus répugnant, même le sol, blanc à la base, était gris de poussière, même l’interrupteur de la lumière sembla suspect ! Il claqua des doigts, laissant agir ses pouvoirs, et alluma la lumière. Il essuya le bureau d’un grand coup de manche et posa son bagage. Le docteur prit une dernière bouffé de cigarette et écrasa celle-ci dans une corbeille vide, après tout, c’est une infirmerie, pas un bar… Quoique ça a été entretenu pareille. Il ouvra sa mallette rapiécé et laissa paraître un écran ainsi qu’un clavier. L’allumage était un peu lent, surtout lorsqu’il se rendit compte qu’il avait oublié de le charger la veille. Stein déroula un câble directement relié à l’ordinateur mais il se rendit bien vite compte qu’il n’y avait même pas de prise…

*comment peut-on travailler dans de telle condition…*

Il empoigna le bout de câble et rechargea lui-même ses batteries, puisant dans ses ressources personnelles. Une fois allumé, il s’assit sur une chaise qui maintenait à peine son poids et posa les pieds sur le bout de bois blanc qu’ils osaient appeler « bureau ». La sonnerie retentit et les têtes commençaient à passer devant la porte vitrée … Mais pourquoi se déranger à se lever alors que les élève (ou plutôt sujet d’étude) vont venir d’eux même… Il ne le pensait pas vraiment, c’est pour ça qu’il fut surpris que son vœux se réalisa. La porte s’ouvrit, laissant passer une jeune fille sous une capuche noire.

Une heure, puis deux, puis trois heures de cours. Un élève, deux puis trois élèves qui s'ennuient et s'endorment. Mais une seule élève reste consentrée même si elle connait déjà toutes les coutures de la leçon du jour. Une seule élève refuse de porter l'uniforme, préférant porter sa longue cape noir, le seul vêtement qui couvre vraiment son corps. Cette même élève qui n'avait rien demander à personne se voit fournir la tache de donner la liste d'élèves de sa classe à l'infirmerie pour la viste médicale générale qui aurai bientôt lieu. La sonnerie retentit. Tous élèves de la classe attendent que cette élève sorte car ils en ont peur. Une seule élève qui put tenir tête au professeur de maths et ses cours de rattrapage à coups de fouet. La jeune fille sorte doucement et sans bruit, comme à son habitude. Dans le couloir, on s'écarte sur son passage. La jeune fille toc à la porte de l'infirmerie et rentre. La poussière dans l'air et le peu de luminosité ne la dérange pas le moins du monde. Elle s'approche de l'infirmier à la vice dans la tête et lui tend la liste:

"Je suis Sad Mirage, en classe 1-A. Et voici la liste des élèves pour la viste médicale générale de la semaine prochaine, senseï. Vous avez besoin d'autre chose pendant que je suis disponible ou je peux y aller?"

Aucune présemption dans sa voix, juste de l'ennuie.

Une jeune fille sans son uniforme venait d’entré, il ne fut pas vraiment étonné que quelqu’un rejette cette règle stupide, lui-même trouve la plupart de ses règle stupide… Enfin, se n’est pas le sujet du jour, elle se présenta et lui remit un liste où des noms d’élève fessait référence à tous se qui vont défiler devant lui la semaine prochaine… Elle lui demanda si elle pouvait y aller, avec le même ennuie que Stein ressentait en se moment, à devoir attendre de vrai cas … Il était prêt à la renvoyer mais en relevant le regard, il remarqua le teint affreusement pâle de Mirage. Un petit sourire sadique prenait le dessus sur son indifférence. Il allait pouvoir travailler sur son 1er cobaye, enfin, si celle-ci le voulait bien. Prenant sa pâleur comme excuse, il lui demanda.

Hé, hé …Moi je n’ai rien besoin d’autre qu’un balaie mais vous ? Vous me semblez bien pale pour une jeune fille qui est censé être pleine de santé, à moins que vous ne soyer une goule ou autre horreur du genre…

Il remonta sa vis deux/trois fois dans un horrible « Cric » et se leva, prenant la fille sous son bras, par les épaule, et l’emmena presque par la force… Enfin, par la force n’est pas le mot exacte, disons qu’il n’a pas laissé le temps à Mirage de repartir.

Pour plus de sureté, je crois que je vais vous faire passer la visite aujourd’hui.

Quand il ne vit presque aucune émotion sur son visage, il continua sur la route d’un brancard plus ou moins propre

Et puis, ça vous empêchera de la passer après…

La jeune fille fut très surprise mes seuls ses yeux permettaient de le savoir. Heuresement pour elle, ceux-ci étaient disimulés par sa capuche. Elle ne pipa mot et laissa l'infirmier la conduire vers ce qui ressemblait de très loin à un brancard. Elle s'assit elle même dessus mais avant que l'homme puisse poser ses mains sur son corps, Mirage utilisa ses pouvoirs. Elle commença à disparaitre un peu tout en retenant prisonnière l'ombre de l'infirmier, ce qui empêchait celui-ci de bouger. Elle lui demanda alors, sans une seule émotion dans sa voix cristaline:

"Senseï, qui êtes-vous vraiment. Et surtout, que nous voulez vous vraiment?"

Elle s’installa de son propre chef et Stein prit une seringue sur la table d’à coté, la seul chose ici qui semblait stérile… Il voulut prendre le sang immédiatement après mais un étrange force l’en empêchât, Mirage disparaissait en utilisant son pouvoir et le questionna. Qui êtes-vous ? que leur veut-il ? Il n’avait aucune raison de le cacher. Le savant ricana puis releva le regard.

Qui je suis ? Franken Stein, grand savant dans le monde humain, ayant découvert ses pouvoirs et les monstres il n’y a pas si longtemps que ça, quelque année…

Il ne se forçait même plus à vouloir se libérer de l’emprise de cette élémentaire, il continua calmement en laissant paraître un léger sourire rêveur.

… Et comme tout bon savant, je suis en quête de connaissance, sachant qu’il manquait d’unité médicale dans ce grand et soi-disant prestigieux lycée, je me suis proposé pour pouvoir étudier les monstre de toute sorte lorsque …

Il s’arrêta un moment, ses lunettes refléta étonnamment bien la lumière, ne dévoilant plus son regard. Son sourire réveur se fit plus fin, le rendant sadique sur les bord

… Lorsqu’ils sont encore vivant, bien sur… Je ne veux pas vous tuer, je ne vous veux même pas le moindre mal, au contraire si je le peux, je vous aiderais même. Tout se que je demande, c’est un peu de sang à analysé et d’être tranquille pour mener mes étude… Tu es très intelligente, je n’aurai pas cru être démasqué au 1er coup d’œil…

Se qu'il dit, il le pensait, bien que sa spécialité sois la disection, il n'en voulait pas particulierement aprés elle ...Un silence de mort passa, puis des arcs électriques commençaient à parcourir son bras.

Tu peux me lâcher maintenant ?

Mirage lâcha sa prise et réapparut devant le savant qui essayait de contenir toute l’énergie en lui. Il venait de lui dire qu’il ne leur ferait pas de mal, se serai bête de rompre cet engagement si vite … Et maintenant ? Déjà, se calmer… Il sortit d’une de ses poches une cigarette qu’il alluma sur le champ en utilisant l’énergie électrique. Il respira un bon coup, les arcs disparurent petit à petit. Il se pencha en avant et repris la seringue qu’il avait fait tomber. Avant de reprendre, il se demandait si elle allait le dénoncer, c’est pas jolie jolie d’utiliser les élève comme il prévoit de le faire … Mais en même temps, si elle comptait le faire, elle n’aurait pas attendu sa réaction.

Mhum … Et bien, si tu es d’accord, j’aimerai prendre un peu de ton sang… Pour commencer…

Il mit la seringue sur son genou et prit ses lunettes ainsi qu’un mouchoir rapiécé. Il commença à astiquer les verres en attendant l’approbation de sa semblable élémentaire.

Elle tendit son bras pour se faire piquer. L’air d’hésitation sur le visage du docteur se transforma en un sympathique sourire

Parfait

Il remit ses lunette et repris sa seringue. Stein l’approcha doucement du bras de Mirage. Une fois celle-ci posé sur sa peu, il releva le regard et aperçus la rougeur sur se pâle visage. Elle le cacha bien vite et fit comme de rien n’était… Il piqua et commença à extraire le sang temps recherché

Voila… Je suis heureux de te rendre tes couleurs, hé hé…

Il prit la fiole et la rangea dans sa blouse. Ça l’étonnait un peu qu’elle soit gênée mais, après tout, il na jamais connut les gamineries de l’adolescence. Qu’est-ce que cette rougeur ? Pourquoi donc ? Il approcha sa main de la capuche noire de Mirage et la souleva un peu.

Montre moi se jolie minois, hé hé, j’ai juste besoin d’un cheveu …

Il passa doucement sa main dans les cheveux de la jeune fille, doucement dans le sens qu’il est étonnant que quelqu’un comme lui agit si tendrement… puis arracha un seul cheveux…

Elle lâcha un petit « aie » puis se recroquevilla sur elle-même, en veillant à se que sa tête soit caché sous la capuche. Stein fut d’abord surpris de cette réaction un peu extrême mais, subitement, il se sentit attendrie. Pourquoi ? C’est vrai, sans bonne raison apparente… Il lança son mégot de cigarette dans une corbeille plus loin et rangea le long cheveux dans une pochette. Il se rapprocha et releva la tête de la jeune fille en prenant garde à laisser la capuche devant son visage.

Aller, aller… j’en ai fini, tu peux partir.

Il prit la main de Mirage et la fit se lever, tout en remontant sa vis. Le savant était plutôt insensible face au sentiment, mais quelque exception confirme la règle, non ? Stein lui frotta le haut de la tête, comme un geste d’amitié qu’on donne à un gamin.

T’inquiète pas, je n’ai rien vu, hé hé…

Alors qu’elle allait partir, il se dit que la première journée au lycée s’était passée à merveille. Oui, le temps passe vite et il commence déjà à faire sombre… Mais, lorsqu’elle allait quitter l’infirmerie, Mirage fit demi-tour et coura dans les bras de Stein, un peu désemparé… Elle l’embrassa sur la joue et se rendit vite compte de son geste. Il ne comprenait pas trop la situation, l’amour, un truc qu’il n’a jamais compris en faite.

Pas de problème…

Il la prit dans ses bras, un moment d’égarement, déstabilisé… Il l’embrassa aussi sur la joue et finit par la lâcher. Tout tremblant, il remit comme il faut la capuche qu’il avait légèrement retirée pour faire se qu’il a fait. Il n’était plus aussi rassuré qu’avant, riant à chaque phrase, croyant contrôlé la situation.

Euh… oui, bon… Tu… Tu devrais y aller, avant que… quelqu’un nous voit.

Elle l’a encore embrassé, un petit contacte chaud qui rendait le docteur tout… « Chose ». Mirage lui caressa la joue puis les cheveux, même ses parents ne lui avait jamais fait ça. Peut-être ça qui a fait qu’il ne sentit rien en les tuant. Après qu’elle lui chuchota quelques mots, elle s’en alla et ferma la porte. Il resta immobile un moment… Puis un déclic, il commença à rire tout seul. Une fois ses affaires rangées, il sortit à son tour et regarda les faibles lumières qui éclairaient les couloir, maintenant bien sombre… Valise en main, le docteur traversa tout le lycée en claquant des doigts, faisant éteindre les néons. Dehors, il aperçut les dortoirs au loin et d’un claquement de doigt, toutes les lumières s’éteignirent.

Bonne nuit mirage, ou… à bientôt, hé hé

Il sortit le cheveu de sa pochette et le jeta dans un courant d’air…